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Thursday, April 28, 2011

Les six premières minutes de ‘Sucker Punch’

Film prétexte à de belles images, blockbuster attendu, scénario insipide ou simple film d’entertainment comme disent les américains, Sucker Punch ne laisse pas indifférent. Peut-être aussi parce que son réalisateur n’est autre que Zack Snyder (L’armée des morts, 300, Watchmen…).
Sucker Punch est une invitation lancée pour pénétrer le subconscient d’une jeune fille enfermée dans un pensionnat. Un univers qui nous est en partie été dévoilé grace à des mini films d’animation qui plantent le décor. On attendra de voir pour juger, mais la photographie des films de Snyder a quelque chose d’envoutant qui ne laisse pas indifférent.
Le film réalisé en 3D est dans les salles obscures depuis hier.
Si vous avez eu l’occasion de le voir, vous pouvez laisser un commentaire pour donner vos impressions; sinon, voici un avant-go?t avec les six premières minutes du film.

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Thursday, April 21, 2011

Pourquoi cligne-t-on des yeux - - Yahoo! Actualité

Prévenir le dessèchement Le clignement entretient en permanence la limpidité du film lacrymal et prévient le dessèchement de la cornée ?, explique-t-il. Très astucieux, ce va-et-vient d'un quart de seconde agit ? comme un volet qui vient en quelque sorte presser les glandes lacrymales ?. Cela se fait un peu à l'image d'une pompe, qui serait réamorcée en continu.
Un mouvement régulier. Le clignement est un réflexe, adopté dès la naissance. Un nouveau-né ne cligne qu'une à deux fois par minute. Le va-et-vient s'accélère progressivement au cours de la première année de vie.
Plus tard, son rythme devient aussi plus important dans certaines conditions : en présence de vent et/ou de poussières par exemple. Car les larmes ont aussi un pouvoir antiseptique. En cas d'agression oculaire, le clignement doit donc s'intensifier pour assurer la limpidité du film lacrymal et protéger ainsi la cornée. Mais ce n'est pas tout. ? Le stress et même le simple fait de parler accélèrent aussi ce mouvement ?, ajoute le Dr Seegmuller. ? Comme s'il existait une stimulation commune au niveau cérébral... ?
Quand le clignement n'est pas possible... Certaines pathologies affectant la paupière peuvent empêcher le clignement. Le Dr Seegmuller cite bien s?r ? le cas de paralysies. Mais aussi des affections comme le ptosis, caractérisé par un affaissement de la paupière supérieure et enfin le blépharospasme, qui est une crispation involontaire et importante des muscles de la paupière ?. Autrement dit, celle-ci vient recouvrir l'il dans un mouvement que le patient ne ma?trise pas. ? Il s'agit d'une inaptitude à la conduite et en règle générale, une intervention chirurgicale de précisi... Lire la suite sur DestinationSante.com
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patek philippe

Thursday, April 14, 2011

Qui a dit que les jeunes étaient des délinquants irrécupérable

17 heures, ma chère mère m’envoie remettre une recette de grand-mère contre les maux d’estomac à une connaissance dans le quartier où j’ai grandi. A l’angle d’une rue, je croise des amis, ?a faisait un bail que je ne les avais pas vus, même si quelques centaines de mètres seulement nous séparent. ? Wesh pote, ?a fout quo en ce momenti ? ?, je lance à Karim dans un langage local. Il me répond qu’il est en contrat à durée indéterminé, sans approfondir. Je lui demande sadiquement la nature de son CDI. Il me lance : ? Un CDI de ch?mage ! ? Après quelques rires, je comprends qu’il fait partie des 10,6% ch?meurs de France.
Dans sa main, il tient une pochette en plastique estampillée ? Crédit Lyonnais ?. Intrigué, je veux savoir s’il est en recherche d’emploi. ? Nan, je vais ouvrir une entreprise ?, répond-il. ? Ha bon ? ? Je saisis sa pochette et l’ouvre avec curiosité. Pendant ce temps, il m’explique qu’il a l’intention de monter une entreprise de prestations de services dans le 19e. ? ?a tombe bien, je vais aller coller des affiches dans des bates (batiments) ?, dit-il. Enthousiasmé par son projet, j’accepte de l’accompagner dans son démarchage de clientèle.
Ce n’est pas compliqué, il suffit de scotcher les affiches sur des murs, dans les immeubles. Mais ce n’est pas facile quand on n’y habite pas et encore moins sans le code d’accès. Mais des habitants rentrent du boulot et nous nous glissons discrètement derrière eux. Quelques gardiens nous surprennent en plein scotchage. D’abord méfiants, mais après quelques petites explications, ils finissent par trouver la démarche intéressante.
C’est clair, l’engouement n’est pas immédiatement au rendez-vous, mais l’initiative, elle, est immense, nous dit un gardien. Un paté d’immeubles plus tard, nous voilà devant une résidence exclusivement juive. Karim me dit : ? Laisse tomber, ils vont nous boycotter, ici. ? Je lui réponds : ? Qui ne tente rien, n’a rien, donc, allons-y ! ? Devant la résidence, un monsieur avec sa kippa nous regarde du coin de l’?il. ?a à l’air mal parti. Karim lui demande l’autorisation de scotcher une affiche. Après une seconde d’hésitation, il nous lache un sourire, tient à lire l’affiche, puis, avec beaucoup de sympathie, il accepte.
Karim, 24 ans, sans dipl?mes et avec beaucoup d’envies, n’avait aucune piste pour s’en sortir dans la vie. En tenant les murs, on trouve le moyen de gamberger à ce qu’on peut faire pour gratter du bif. L’idée du projet est simple, venir en aide aux personnes qui ne sont pas douées de leurs mains pour le bricolage. Chez lui, 24 printemps à bricoler de ses mains par débrouille en ont fait un pro. Montage de meubles, clic-clac, petits travaux d’intérieur divers, etc.
Cinq euros la demi-heure, il propose. C’est trois fois rien par rapport à une entreprise spécialisée. ? Et en ces temps de crise, c’est bienvenu pour les habitants du 19e ou d’ailleurs ?, lance Karim avec beaucoup d’ambition. Pour démarrer son affaire, Karim a imprimé une centaine de feuilles avec son numéro de téléphone.
Qui de mieux pour aider des personnes seules et agées que des jeunes sans emploi avec beaucoup de temps libre. Mais attention, ne le dites à personne, l’entreprise de Karim ne sera pas déclarée : tout cela reste illégal aux yeux de l’Etat !
Idriss K

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Thursday, April 7, 2011

La France en pleines gueules

DU GLOSS SUR DES ECORCHURES. Cherlinertha est une jeune femme de 19 ans qui n’a pas totalement évolué avec son temps. D’origine guyanaise, elle nous donne l’impression, avec son haut rose bonbon sans manches, ?d’être restée dans le monde de Walt Disney. Un univers sur lequel la crise n’aurait pas déteint. Quelque part entre le monde adulte, où il faut tous assumer soi-même, et un monde enfantin. Toujours besoin de papa maman pour tout. Un sourire de Bambi.
Sur cette photo, elle m’appara?t comme une femme-enfant. Négligée et coquette à la fois. Pas trop maquillée, juste un peu de gloss sur la lèvre inférieure. Pour valoriser la part de féminité qui est en elle. Deux colliers jama?cains autour de son cou. Les Jama?cains ont la réputation d’être cool, et d’écouter de la musique, de préférer le naturel au superficiel. Les Jama?cains ne se prennent pas la tête, selon l’expression consacrée. Cherlinertha fait bonne figure devant le photographe mais on sent qu’elle n’est pas si heureuse que cela.
Dans son regard, on peut lire que d’être jeune aujourd’hui, c est plus difficile qu’en d’autres époques. Et pour mieux échapper à cette réalité, rien de mieux que la musique. Pour s’évader, voyager ou simplement prendre un peu de recul. D’où l écouteur à l’oreille droite. Pour cette femme-enfant, la France c’est ? La France, c’est ma terre d’accueil. Mais nous les jeunes, n’avons? pas confiance dans cette France qui est dirigée par des personnes qui ne nous comprennent pas, qui ne cherchent pas à nous comprendre. Pourtant, la France c’est nous, car nous sommes l’avenir. On a besoin de la France, comme la France a besoin de nous pour avancer, pour faire en sorte que la France soit meilleure.??
Irène Alambwa
SOUS LES ETOILES EXACTEMENT. Un ancêtre plus qu’un homme. Voila l’impression que me donne ce visage. On ne conna?t pas son age mais il semble avoir beaucoup vécu et beaucoup voyagé. Des rides. Il a énormément de rides qui me font penser à un parchemin, le parchemin de sa vie, dont il est prisonnier. Sa vie a d? être pénible. Il a d? connaitre le grand amour et puis la misère. Je pense même qu’il connu la rue est ses difficultés. Et pour sans sortir, il a d? faire des pieds et des mains.
Mais ce Robinson est avant tout amour de la vie et des aventures. L’état sauvage doit bien lui convenir. Placer sa tente où bon lui semble, sans taxe d’habitation à payer. Chasser le gibier. Profiter de la récolte, autour d’un feu de bois, dormir à la belle étoile. Se réveiller au chant du coq, et non être réveillé par cette sonnerie de réveil, symbole d’un monde qui dysfonctionne. Marcher pieds nus sur le sol ferme, sentir la chaleur de le nature sous la plante.
La misère et la pauvreté ne font pas peur à Michel. Il en sourit, même. Ce n’est pas un amoureux de la vie des quartiers bobo-chic qui ne pensent qu’à manger dehors et s’offrent goulument aux regards des passants. Il pense à soi-même. Mais tout le monde sait bien que le temps de la Mésopotamie et des gourous errants est révolu. La France pour Michel, c’est?: ? En Inde, je marche pieds nus avec mon baton. Les gens, ils m’embrassent les pieds.? Je vais en Australie, ils me donnent à manger. En? France, ils appellent la police. ?
I. A.
L’OBSCURE CLARTE DE LA REUSSITE. De la détermination dans les grands yeux sombres de Sofiane. Une barbe de trois jours et des sourcils fournis, accentués par le cliché noir et blanc, évoquent la nostalgie en même temps qu’un combat pour ??la réussite??. Une partie du visage est dans l’obscurité, l’autre est caressé par une lumière douce. Un léger sourire se dessine, comme une certaine satisfaction. Pour lui, comme pour beaucoup, issus ou non de l’immigration, tout n’est pas gagné d’avance. Sofiane n’est pas complètement sorti de l’ombre. Une partie de lui a réussi, celle du travailleur brillant, mais une autre partie, celle de l’homme maghrébin, reste effacée. Une histoire qu’on devine douloureuse, la question pesante de l’immigration, des origines en débat… Et des gens qui préfèrent se crever les yeux devant les problèmes, se réfugier dans un bunker.
Pour Sofiane, la France ? c’est Zinedine Zidane en finale de la Coupe du Monde, Jamel Debbouze faisant pleurer… de rire des millions de gens.?? ??Mais c’est aussi… Cécile rêvant de casser la baraque mais ne se faisant que casser la gueule. ? L’?il brillant dans le noir, il attend avec impatience de pouvoir baigner dans la lumière.
Aude Duval
SI UN JOUR… De petites mèches d’un blond effacé encadrent le visage de Véronique. Cette septuagénaire para?t perdue dans ses souvenirs, dans un flot d’émotions contradictoires. Les sourcils épars, froncés, trahissent une inquiétude. Pense-t-elle à l’avenir d’une France qui se déchire ? Pour Véronique, qui a vécu mai 68, la révolution des slogans, dont le célèbre ? nous sommes tous des juifs allemands ?, ? La France, c’est la couleur des peaux, les mille et une langues croisées dans la rue, dans le métro ?, la ? diversité dans la tendresse ?. Tournée vers la lumière, sa peau fra?che et légèrement rosée, le regard dans le loin, elle espère peut-être que cela devienne un jour plus qu’une vérité, une évidence.
Sa bouche en c?ur encore bien dessinée semble vouloir dire cette espérance. De petites rides prennent ses yeux verts en otages. Ses boucles d’oreilles aux couleurs des 70’s paraissent deux petits soleils pour un combat qui, croit-elle, un jour portera ses fruits.

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Friday, April 1, 2011

Bowling de Brignais - « Interdit aux foulards et aux animaux »

En me rendant à la Maison des jeunes et de la culture de Lyon, à Saint-Just, j’entends des lycéens discuter entre eux et lancer une phrase loin d’être anodine : ? On est dans un pays des Droits de L’Homme, qui est en train de devenir un pays de racistes ! ? Je leur demande pourquoi un tel coup de gueule. Ils me racontent qu’ils ont re?u une classe danoise pour un échange scolaire et que, vendredi, ils ont souhaité se rendre au bowling de Brignais.
? Malheureusement, l’un des élèves a été refoulé parce qu’il est de confession sikh, et que, de ce fait, il porte un turban ?, me racontent les lycéens. Je décide donc de me rendre à ce fameux bowling pour en savoir un peu plus. Les portes sont closes mais, derrière la vitre de l’entrée, on peut apercevoir les tarifs et un panneau interdisant l’entrée aux chiens et aux foulards et également aux survêtements et chapeaux. Je montre la photo à une amie, Nassira, qui porte des chapeaux pour cacher ses cheveux. ? Quand je vois cette photo, je pense immédiatement à « Interdit aux chiennes et aux musulmanes » ?, confie la jeune femme. Autre ami, autre réaction : ? Cela me rappelle la guerre, interdit aux chiens et aux juifs ou l’apartheid en Afrique du sud et les années noires de l’Amérique ?, dit Eric.
Contacté par téléphone, Benjamin, le responsable, me renvoie sur le site du bowling (www.bowlingdefrance.com) afin de consulter le règlement intérieur. Sur le site web, la notion de foulard a été changée par celle de couvre-chef. Je contacte alors le bowling de la Part-Dieu afin de savoir si un tel règlement intérieur est propre à tous les bowlings du Grand Lyon. De leur c?té, la réponse est claire. ? Non, nous n’avons pas un tel règlement ! Pour entrer, il suffit d’être habillé correctement, c’est tout. ? Affaire à suivre.
Azzedine Benelkadi

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